Ssouvenirs de JO (5) : la flamme brûlante de la mémoire
J'ai en mémoire la visite du stade olympique de Berlin en 1967, lieu hautement symbolique des déviances de l'Olympisme naïf
J'ai en mémoire la visite du stade olympique de Berlin en 1967, lieu hautement symbolique des déviances de l'Olympisme naïf
Deux compétions olympiques fort différentes pour un cheval exceptionnel. Qui fut l'acteur de ces moments ? L'homme ou le cheval ? J'avais rencontré la deux...
Une histoire qui parait incroyable mais qui est pourtant exacte : j'avais annoncé la disqualification de Ben Johnson pour faire une plaisanterie... qui se révéla malheureusement vraie en 1988
. Issu du milieu de l'immigration, modeste à l'extrême, dur au mal, n paraissant pas hors normes physiquement, Alain Mimoun, petit homme aux vertus cardinales. Il symbolisait grâce à sa victoire lors du marathon de Melbourne en 1956, juste après la dernière guerre mondiale, ce qu'avait apporté à la France ces gens venus de l'autre coté de la Méditerranée.
La plupart des papiers des mois précédents portaient sur une rivalité qui préludait à celle passionnée entre Anquetil et Poulidor. Elle était similaire à bien des égards. Jazy, élégant, aérien, doté d'une foulée ample adorait battre des records était opposé à un autre gars du Nord, rude, austère, laborieux, spécialiste de cross-country, Michel Bernard.
Celle ou celui qui pense qu'une campagne électorale constitue un moment serein d'un engagement dans la vie publique doivent rester chez eux. J'en ai connu quelques dizaines avec des événements pour le moins peu glorieux mais considérés comme « normaux » puisque tous les coups seraient permis. A chacune d'entre elles se rattache une anecdote ou des comportements peu en phase avec ce que l'on appelle la démocratie.
Journée particulière éprouvante d'accompagnement de Jean-François Broustaut, ancien "pilard" du Stade Bordelais, maire en exercice de Tabanac, "cruche" sadiracaise et honnête homme. La famille m'a permis dans l'intimité de la cérémonie du crématorium de lui rendre hommage.
La nuit a été très courte. Trop courte. Pour obtenir un contrat de prêt à la consommation Choupinet a dû batailler ferme et multiplier les concessions afin de satisfaire la bande des pingres. Il voulait absolument revenir triomphal avec ses 40 milliards dans la poche. Nul ne sait vraiment quand ils finiront dans le budget de la famille mais un tel pactole, ouvre tout de même des possibilités d'annonces de bonnes nouvelles à quelques mois de l'examen de 2022 ne se refuse pas. Même pas cependant, le temps de s'offrir une sieste au cours de la journée puisque le quotidien ne le permet jamais. Il lui fallait en effet remettre de l'ordre à la maison après plus de quatre jours d'absence.
Hier soir j'ai regardé l'émission de France 3 consacrée à Jean Ferrat. J'ai plusieurs fois eu le regard humide. Voici le texte que j'ai écrit il y a dix ans le jour de sa disparition :