Toujours heureux ailleurs à la découverte des autres

Depuis autant que je me souvienne l’envie de « partir ailleurs » a toujours constitué l’une des pensées les plus heureuses que j’ai u envisager. Prendre le minimum et filer vers les autres quelque part où je n’aurais été ni connu, ni soumis à la pression du regard ou de l’approbation de quiconque. Arpenter des routes ou des sentiers inédits sans autre but que celui de me construire un patrimoine relationnel et visuel.

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« Je n’invente pas… je redécouvre ! »

C’est fou comme toutes les bonnes idées abandonnées car jugées à un moment ou un autre comme ringardes, inutiles ou trop coûteuses peuvent par la magie d’un esprit ayant réinventé la poudre devenir des propositions géniales. Tous les jours il est aisé de constater que à tous les niveaux les initiatives ripolinées par la magie de la politique réoccupent le devant de la scène. Et pourtant que de critiques à mots couverts… C’est fou comme les responsables en place ont la mémoire courte ou mieux que se flattent de leur créativité avec d’autant plus de vigueur qu’ils ne sont jamais intéressés dans le passé au sujet qu’ils présentent

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Le bonheur de retrouver le chemin de son école

Nous sommes toutes et tous des anciens élèves avec des souvenirs plus ou moins agréables. Depuis que l’école est devenu obligatoire il n’y a pas d’exception au passage sur ses bancs. C’est vrai que la tradition veut « qu’avant ce fut mieux que maintenant » dans ce domaine comme dans d’autres. En fait rien ne prouve qu’un enfant du XXI° siècle ait l’espoir de meubler sa mémoire de moments plus mauvais que les nôtres.

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Laure, Christian, Jean-Jacques, Jean-François, Gilbert, François, Gilles et tous les autres

J'attends toujours avec le même appétence les retours que constituent les commentaires à la fois sur mon profil Facebook qu'au bas du texte. En fait ce sont eux qui brisent ce qui fait toujours la solitude de celui qui écrit dans le vide. Et plus encore je guette la réaction d'une douzaine de fidèles qui sont devenus des camarades de route.

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Nous serions maintenant des libres enfants mal élevés

Les hasards d’une programmation télé et me voici plongé dans un bain de nostalgie toujours démoralisant car on fait semblant, les uns et les autres, de ne pas voir filer le temps. L’émotion naissant des faits les plus simples et donc les plus sincères, il est rafraîchissant de temps à autres de revenir sur ses pas, en ce monde où les apparences ne sont pas seulement trompeuses mais trop souvent mortifères.

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Souvenir d’un projet fondamental méprisé

Le Ministre actuel de l’Éducation n’ayant plus grand-chose de nationale tellement les situations varient sur le territoire républicain, a découvert que la « fracture » entre les deux niveaux d’enseignement devenait une catastrophe en terme de niveau. Il lui faudrait rechercher dans les archives du Centre National de Documentation pédagogique les exemplaires « éventuels de l’École fondamentale

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Mes bals de preux chevalier du Solex

Tout changea quand en 1962 avec les rémunérations De mon travail estival je pus acheter un « vélosolex » d’occasion. Mon statut en fut modifié même si ce n’était pas, vis à vis des filles, celui que procurait la possession d’un Mobylette bleue ciel ou mieux une motocyclette avec un siège allongé et un pot d’échappement longiligne, brillant comme un sou neuf. N’empêche que mon Solex améliora grandement mes possibilités de déplacement.

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Le silence de la mort de nos valeurs plane sur Oradour

Déchiquetés ou mutilées, n’exhibant que des moignons de pierres aux teintes diverses, laissant sortir de leurs entrailles vides des lambeaux de briques rouges les maisons de la plus humble à la plus vaste sont restées blotties les unes contre les autres. Le vide et le silence meublent ce qui furent des intérieurs cossus ou d’une grande simplicité.

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