La stratégie du « c’est pas moi c’est l’autre! »
Que restera-t-il de la loi immigration quand le cosneil Constitutionnel pris pour un arbitre politique, l'aura examinée ? Le traquenard mis en place a fonctionné.
Que restera-t-il de la loi immigration quand le cosneil Constitutionnel pris pour un arbitre politique, l'aura examinée ? Le traquenard mis en place a fonctionné.
Mario a décidé de ne pas débuter l’année nouvelle en quittant ce monde à l’aube du premier jour. Il emporte avec lui un pan entier de ma vie personnelle. Il…
Depuis cette nuit le RN est officiellement dédiabolisé et entre dans une majorité parlementaire fut-elle de circonstances .
Quel que soit le résultat de la Commission Mixte Paritaire la France ce soir basculera dans le camp des pays européens allant vers la perte des repères démocratiques
La discussion autour du rejet de la loi immigration mérite un autre décodage que celui qui est servi sur les plateaux télé
Au cœur de l’océan indien, sur 376 km² de territoire national se prépare une crise humanitaire qui pour le moment laisse le grand public totalement indifférent. Après avoir durant des semaines alimenté les divagations des plateaux des télés ne carburant qu’à la haine et à la démesure, Mayotte y a pourtant eu une place de choix.
Une énième loi sur l’immigration est en préparation donnant lieu à un marchandage politicien tellement dérisoire qu’il en devient comique. Encore une supercherie pour amuser la galerie et surtout provoquer des débats spécieux indispensables pour éviter les vraies catastrophes qui menacent.
Tout est désormais permis. Ainsi se réclamant des propos du député girondin du RN, le siège de la mouvance dite d’ultra-droite lilloise projetait d’organiser une soirée intitulé « qu’ils retournent en Afrique ». Une phrase faisant directement référence à la déclaration polémique d'un député RN girondin datant du 3 novembre dernier à l’Assemblée national
C’est parce que depuis des décennies les faits liés à la guerre, à la montée du fascisme, à l’atrocité du comportement d’extrémistes issus des rangs du peuple, à une déshumanisation ont été oubliés, contestés, effacés des mémoires que nous sombrons inexorablement dans le marécage nauséabond du racisme ou de la haine normalisée.