Le patchwork de mes quatre mondes

Si je créais une publication de ce genre, elle aurait l’ambition de l’appeler celle de « mes quatre mondes ». En effet je pense avoir parcouru des espaces différents dont malheureusement je m’aperçois qu’ils n’intéressent guère les autres. J’espère que l’on ne retiendra pas de ma vie que le périple dans la politique. C’est probablement celui qui a été le plus difficile à traverser car il repose sur des idées reçues, sur des supputations hasardeuses et une mauvaise réputation que Brassens aurait pu chanter.

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La bonne volonté ne suffit plus pour les élus locaux

Comme depuis quelques temps, pour exister ou survivre il est indispensable de récupérer les mécontentements du quotidien de franges de la population aisément manipulables il n’y a plus de projets ou de réalisations qui ne suscitent pas indignation, réprobation et exploitation populiste.

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L’humour devient une forme d’insoumission

« Rien de plus fatigant que d’écrire ce que vous pensez vraiment de Pierre ou de Paul, de ceci ou de cela. Honnêtement c’est tuant. Vous déclenchez-dans le meilleur des cas-une avalanche de coups de fil, de lettres, des récriminations et de reproches (4) Y compris de la part de vos amis. Peut-être même et surtout de vos amis

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La source rafraichissante aux souvenirs se tarit

L’idée de multiplier les rencontres autour de l’immigration italienne en générale et de celle des cimentiers du petit village piémontais de Postua a dans le fond constitué une excellent manière de rappeler le vrai parcours des Ritals ou des Macaronis. Un bonheur permanent d’aller à la rencontre de lectrices ou de lecteurs potentiels mais aussi de descendants de ces transalpins ayant fortement contribué au redressement d’une France affaiblie par la Grande Guerre.

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Ici et ailleurs (57) : les précieuses retrouvailles

Le café de ce matin de marché au Bistrot des Copains n'avait pas la même saveur qu'à l'ordinaire. Il avait l'effluve et le goût de l'impatience des retrouvailles puisque la venue d'Olivier m'avait été annoncée. Olivier n'avait pas la même passion pour les études que celle qu'il avait pour le football.

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Ici et d’ailleurs (9) : les pédaleurs novices du 9…3

Ils aimeraient bien un jus de citron même si eux ne sont pas pressés. Robert et Françoise ont soigneusement attaché leurs vélos chargés comme des mules, devant le Bistrot des Copains. Faute du breuvage souhaité ils s'offrent un Perrier. Ils trinquent en toute complicité comme les gens qui se réconfortent mutuellement face à une aventure délicate.

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Ici et ailleurs (8) : Vanille, le parfum du retour

Elle est revenue… Elle n’était pas partie très loin mais elle avait abandonné le bar PMU du cœur de la bastide pour s’installer dans cette ancienne ferme isolée devenue une vraie « retraite » aux confins de Sadirac et de Créon. Celle que personne n’appellerait autrement que "Vanille" a en effet retrouvé sa place derrière le comptoir du Bar créonnais niché dans l’angle nord de la Place de la Prévôté.

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« Un homme sans mémoire est un homme sans vie »

"Toutes les mémoires ont besoin des cailloux blancs sur les chemins de la vie pour retrouver le bon sens du retour dans la maison des valeurs. Sans ces moments solidaires, et nous le constatons chaque jour combien ils manquent, les peuples sont condamnés à mourir lentement mais inexorablement, de froid.

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Le rocker qui tenait à sa chevelure symbole (4)

. Lorsque le jour de la rentrée de 1963 se présenta Serge Coulaud il y eut quelques regards envieux. Il affichait une superbe chevelure blonde conforme aux standards du showbizz d'alors. Un « Johnny » ayant comme pseudonyme celui de Vince Rilway par référence à deux de ses idoles arrivait au château Bourran.

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