Je ne vous en « voeux » pas toujours mais je ne veux pas y croire
Je crois de moins en moins à la lumière de l’expérience aux vœux que l’on formule rituellement à chaque début d’année.
Je crois de moins en moins à la lumière de l’expérience aux vœux que l’on formule rituellement à chaque début d’année.
Depuis pas mal de temps une nouvelle gouvernance s’installe selon les principes théoriques du libéralisme. C’est progressif et insidieux car cette méthode à l’apparence d’une justice sociale envers les plus faibles tout en évitant de contrarier le monde du profit. Il s’agit d’un bouleversement profond apparemment incolore, inodore et sans saveur politique mais dont les effets seront durables. Il sera même probablement impossible pour n’importe quel gouvernement de revenir en arrière.
J’aimerai bien que chacune ou chacun d’entre vous puisse écrire sa propre lettre au Père Noël. Une sorte de retour en arrière mais plus encore selon votre âge une projection vers l’avenir. Difficile de savoir ce qui serait essentiel ou subalterne ; ce qui relève du plausible ou du possible ; ce qui tient du matériel ou des valeurs essentielles. L’exercice n’est pas aussi simple qu’on le croit
Dans une période où l’on vide les campagnes pour tenter d’économiser l’argent nécessaire à faire survivre les services dévolus aux fonctions régaliennes de l’État et en éloignant la décision du citoyen, l’installation du siège régional de l’Association Laïque pour l’Éducation, la Formation, la Prévention et l’Autonomie (ALFPA) a une valeur exemplaire. Il aurait été facile d’acquérir ou de louer des locaux dans la métropole bordelaise pour aller dans le sens de cette recentralisation à marche forcée devenue tendance.
J’aime la naïveté de cette journée de rassemblement, de partage et d’acceptation des différences. Elle témoigne que l’essentiel repose sur la solidarité dans l’action et la volonté que l’on met à ne surtout pas prendre les autres pour des cruches !
Les vendanges vont battre leur plein dans les prochains jours en Bordelais. L’ouverture de la cave coopérative créonnaise bien que réduite à la portion congrue en matière de surfaces à récolter par ses adhérents va emplir l’air de la commune de cette odeur spécifique de la râpe sortie des pressoirs. Cette période reste l’une des plus belles de l’année pour celles et ceux qui ont eu la chance de vivre près de la terre.
Les yeux gonflés Olivier vient en fin de matinée prendre le café des jours de repos au Bistrot des Copains. « J'ai terminé mon service de nuit à Guillos. Je ne suis pas encore allé me reposer. Je reprends demain matin » explique celui qui sert le SDIS 33 comme sapeur-pompier professionnel
Des flots d'une compassion logique déferlent en Europe sur le sort du peuple ukrainien. L'épouvantable attaque dont il a été victime explique ce sentiment collectif de solidarité à l'égard des femmes, des enfants, des personnes âgées devant faire face aux bombardements, aux menaces de missiles, aux menaces de pénurie sur les produits essentiels. La prise de conscience d'une situation humanitaire dégradée a provoqué en quelques heures l'ouverture des frontières de l'espace Schengen à plus de 360 000 « réfugiés»
Je ne résiste donc pas à la tentation de vous délivrer pour ce docte anniversaire, ma vision de la scène 10 de l'acte 3 du Malade imaginaire que je me permets d'intituler « l'électeur imaginaire ». Bien évidemment toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n'est pas pure coïncidence. Dialogue entre Eric et Paul !