Le monde prend des allures de Titanic
L’ordre mondial croule de partout et ressemble au Titanic. Les chaloupes manquent. Ce ne sont pas les porte-avions et autres navires de guerre qui résoudront le problème.
L’ordre mondial croule de partout et ressemble au Titanic. Les chaloupes manquent. Ce ne sont pas les porte-avions et autres navires de guerre qui résoudront le problème.
Le périple a été un peu long et j’ai perdu l’habitude de ses levers au creux de la nuit pour rejoindre l’aéroport mérignacais. Créon enveloppé par la nuit laisse encore à la lune le soin de suppléer la disparition de tout les réseau d’éclairage public. Rançon du progrès l’attente et la préparation du vol sont plus logues que le vol lui-même. Les péripéties du contrôle de mon maigre bagage à main aggravent mon stress.
Hommage rendu entouré de mes copains de l'Ecole Normale d'Instituteurs à Serge Cartron avec lequel j'ai partagé 60 ans de ma vie. Je sais c'est long à lire mais 60 ans... C'est aussi long. Pardonnez-moi
Reprise par François Mitterrand la fameuse phrase de Cervantès voulant qu’il faille « donner du temps au temps » inspire tous les retraités actuels avant que la dépendance ne les rattrape tôt ou tard. Ils découvrent des « passe-temps » qu’ils méconnaissaient ou ne cessent d’évoquer ce temps passé qu’ils estiment meilleur.
Le 15 août, quand on est enfant actuel, n’a aucun sens réel puisqu’il est un jour de vacances comme un autre et qu’il ne génère pas de contraintes particulières ou n’accorde pas de libertés complémentaires. C’est l’absurdité de ces jours fériés toujours basés sur un calendrier religieux n’ayant plus aucun impact social, sauf à permettre de déserter son lieu de travail ou d’améliorer une période de congés.
Il y a soixante ans les vacances scolaires débutaient vraiment mal. Pourtant rien ne laissait présager pareilles situation. BEPC en poche j'avais le privilège de pouvoir aborder la période avec une certaine décontraction. Il restait à attendre le résultat de l'écrit du concours d'entrée à l’École normale d’instituteurs.
Parmi les participants aux Alefpiades, Ibrahima Khaliloulah Djitté a vite trouvé sa place. Ce jeune Sénégalais, désormais en contrat de jeune majeur après avoir été reconnu comme mineur non accompagné (MNA), observe avec un regard aiguisé tout ce qu'il se passe autour de lui. Rien ne lui échappe.
Après un très mauvais souvenir de ses débuts sur deux roues, Jacques a retrouvé goût à pédaler en sécurité sur un robutes mais rassurant tricycle entre Agen et Bordeaux
J'ai en mémoire la visite du stade olympique de Berlin en 1967, lieu hautement symbolique des déviances de l'Olympisme naïf