You are currently viewing Les premiers compagnon.ne.s des « 9 vies d’Ezio »

Les premiers compagnon.ne.s des « 9 vies d’Ezio »

 Voici quelques avis reçus des premiers lecteur.trices.s du roman « Les 9 vies d’Ezio » que vous pouvez encore commander sur le premier tirage sur http://www.jeanmarie-darmian.fr

  • « Cette lecture m’a beaucoup apporté. J’ai appris des tas de choses sur l’Italie et le Piémont de ces époques, la façon de vivre, de partager et d’échanger au sein de ces familles éclatées par l’histoire et l’émigration, les blessures infligées en France et la « vie », ou plutôt la survie au STO et dans les camps de travaux forcés. J’ai éprouvé une grande quantité d’émotions au fil du récit et notamment pendant la lecture de l’épilogue. Merci pour ce travail de mémoire et d’amour pour ton petit-fils et tous tes autres futurs lecteurs. » (Karim J.)
  • « Cher Jean-Marie, Je viens de tourner la dernière page de ton livre. Quel beau travail ! Que de trésors es-tu allé chercher en toi et dans le secret de tes proches pour nous livrer ce portrait d’un petit « Rital » tellement attachant dans sa volonté de vaincre les effroyables embûches d’une vie que l’Histoire a érigées en incessant parcours du combattant. Comme tu donnes beaucoup à voir par le biais de descriptions, on a parfois le sentiment de caracoler dans une BD pour, quelques pages après, se retrouver le cœur chaviré comme seule la littérature peut le faire. Très étrange livre en vérité. Livre de pleins et de vides. Livre à clé, bien sûr, qui invite le lecteur à effleurer des mystères sans lui imposer le mille-feuilles de leur genèse. Livre précieux pour ce qu’il offre en partage les valeurs de son auteur et qui sont belles, fraternelles, d’un humanisme sans faille. Livre sur l’étrange étranger que nous sommes finalement tous dans une société elle bien peu ouverte et plutôt mal accommodante. Seuls quelques individus s’en sauvent et la famille. Voilà Jean-Marie mes premières réactions. Ezio va maintenant m’habiter un long moment, de cela j’en suis certain, pour me faire découvrir des replis de sa vie où quelques douceurs ont forcément pris refuge dans la tourmente du temps. C’est tout le bonheur d’un personnage très réussi car jamais mis à poil. » (Jean Eimer ancien journaliste, grand reporter, rédacteur en chef de Sud-Ouest Dimanche)
  • « Une belle histoire d’homme, imbriquée avec finesse dans la Grande Histoire. On s’attache à Ezio, à sa famille, à ses racines italiennes qui prennent la couleur d’un pays presque merveilleux, comme le soleil d’une patrie idéalisée, ce Postua qui est réel quand il y va, mais qui reste une sorte de mirage magnifique. Les coups du sort sont sans pathos exagéré, et se sédimentent en donnant progressivement la tessiture d’une personnalité marquée par ces vies aux à-coups douloureux. Ses dernières années rendent triste, mais on comprend aussi trop bien comment les épreuves traversées amènent à vivre à côté des autres, sans véritablement pouvoir reprendre le cours naturel des choses. Bref, c’est de la belle ouvrage ». (Jean-Luc G.)
  • « Vous racontez la vie D’Ezio. Sachez déjà qu’il est assez rare de découvrir un parcours aussi difficile et pourtant tellement courageux. En effet voici un homme qui ne cessera tout au long de sa vie de surmonter des obstacles. Peut-on rappeler ici le départ au front du père d’Ezio alors qu’il n’était qu’un enfant, le racisme anti rital, la mort de son père, sa fuite de l’Italie vers la France (chemises noires, Mussolini…), le camp de travail, les 40kg d’Ezio et sa condamnation à mort… et pourtant Ezio qui ne cessera de se battre et même d’aider les autres. Là encore faut-il rappeler, l’anecdote de l’aspirine dans la cigarette, son engagement pour aider les autres sur le camp, le soutien qu’il apporta aux pompiers après avoir été libéré… Vous êtes, monsieur Darmian auteur d’un bon livre, qui véhicule un message universel : vivre et- vouloir aider malgré les épreuves. Ezio de par son parcours nous rappelle que certaines vie relèvent de l’admiration tant elles sont difficiles. Un livre d’ailleurs que les jeunes générations devraient aussi découvrir, afin de leurs rappeler quelle chance elles ont de vivre dans la société d’aujourd’hui. Pour ce qui est de votre écriture, nous la jugeons, maîtrisée, sérieuse et limpide, ce qui permettra au plus grand nombre de s’approprier votre œuvre. Nous apprécions en outre l’aspect historique de l’ouvrage qui accompagne le parcours de notre personnage et enfin les sentiments qui ressortent de ce livre : l’amour, la solidarité piémontaise, le racisme anti rital, les épreuves d’une vie…tous ces sentiments qui sont à mon sens de très bon vecteurs de promotion. Nous pensons donc qu’un parcours comme celui d’Ezio dépeint par une écriture telle que la vôtre à tout à fait sa place dans le paysage littéraire d’aujourd’hui (éditeur)
  • J’ai lu avec beaucoup d’intérêt les neufs vies d’Ezio. J’ai toujours pensé lire du Pagnol. J’ai beaucoup aimé et vraiment c’est un beau livre, un livre qui parle de la Famille, des racines, du sang. Qui parle de ceux que l’on oublie pas et qui ont fait que l’on trouve, un jour, un coin de terre où vivre. J’aimerais en faire une préface si vous me le permettez. Je vous remercie beaucoup de m’avoir permis de lire les neufs vies d’Ezio en avance. Si j’étais éditrice(un jour peut être) je n’hésiterais pas une seconde. (Sandrine Biyi écrivain)
  • Roman de société : « France, 1915. Giovanni est mobilisé, laissant sa femme avec leur bébé, Ezio, loin de sa famille et de ses racines. Gesuina assure désormais l’essentiel au sein de la maison. Elle et son cheval, Nero. Son père revient alors qu’Ezio a 4 ans. Celui-ci grandit au milieu des habitudes, du labeur, des chantiers. Un jour, il prendra la relève. À 10 ans, élève modèle, il est le futur chef de famille….Sur fond historique, cet ouvrage est poignant. » (Société Française des Ecrivains)
  • Merci de m’avoir permis de découvrir une histoire douloureuse et instructive d’un personnage (…) et avoir su l’exprimer avec précision et chaleur humaine impliquant pleinement le lecteur… » (Suzette)
  • « Je ne m’attendais pas à un roman. Je pensais à un écrit politique, habituée à lire tes « roues libres », même si ton livre parle de politique sous une forme différente. Je crois que j’ai lu chaque page plus de 3 fois à chaque fois. Faisant des aller-retour entre les chapitres, les pages, les paragraphes. Beaucoup d’émotions différentes m’ont submergé….j’y ai retrouvé la famille de mon père, une histoire quasi parallèle. » (Carole G.)
  • « Roman historique captivant relatant une incroyable et bouleversante épopée ». (Marêva)

 

 

Cette publication a un commentaire

  1. GRENE CHRISTIAN

    Que pourrais-je ajouter à ce qu’a écrit Jean Eimer? Cher Jean-Marie, je te félicite pour ce beau bébé que tu portais en toi et qui, je sais, t’a beaucoup fait souffrir. Que dire encore encore? Il te ressemble et je serais fier d’en être le parrain. Longue vie au petit Ezio qui, je n’en doute pas, deviendra grand pourvu que les lecteurs – oublie un peu l’électeur! – lui prêtent vie.

Laisser un commentaire