Avez-vous lu les 9 vies d’Ezio ?

Vous êtes un abonné de Roue Libre et je n’ai jamais pu vous proposer « Les 9 vies d’EZio » un roman sur l’immigration italienne entre 1915 et 1945. Les vies de ce gamin originaire du village piémontais de Postua permet de mesurer ce qu’a été l’arrivée de centaines de familles italiennes en France après la guerre 14-18 ! Vous pouvez vous le procurer sur le site de l’éditeur https://desauteurs-deslivres.fr/ qui se fera un plaisir de vous l’envoyer. Si vous le voulez dédicacé il suffit de me le commander sur jmdarmian@club-internet.fr avec votre adresse postale. 

Cet article a 4 commentaires

  1. LAVIGNE Maria

    Magnifique roman dont la lecture a remué en moi des souvenirs douloureux puisque née de l’autre côté des Alpes.
    Je le recommande à tous ceux qui ont des racines Italiennes mais aux autres aussi.
    Quitter son pays natal n’est jamais un plaisir, la terre colle toujours sous nos pieds.
    Aujourd’hui, je me sens citoyenne du monde sans pour autant oublier le pays qui m’a vue naitre et celui qui m’a accueillie.
    Merci J.M

  2. Jolivet Marie-Claude

    Mais bien sûr que j’ai lu « Les 9 vies d’Enzo »! Même si, excuse-moi, je ne t’ai pas demandé de me le dédicacer :-)) …Ce récit m’a rappelé celui écrit, en espagnol, par le père de mes petites copines de primaires, qui avait lutté contre Franco et qui, après être passé par les camps en France est venu fonder sa famille en tant qu’ouvrier agricole à St-Christophe.
    Comme le dit Maria, tous ceux qui ont dû quitter leur terre natale se retrouveront dans ton livre.
    Merci pour celui-ci, et pour les précédents…

  3. J.J.

    Bien sûr que j’ai lu les « Neuf Vies d’Enzio ».
    Dans certaines circonstances, il n’est pas besoin parfois de venir d’un autre pays pour se trouver exclu de la société, les préjugés y pourvoient parfois largement. Et face au mutisme et au mur d’une apparente indifférence, on ne dispose même pas du nid protecteur de la famille pour trouver refuge, paix et réconfort.
    Une épine douloureuse plantée à jamais, quoi qu’on y fasse, dans le cœur.

  4. J.J.

    Jean Marie – Pardon d’avoir écorché le nom d’Enzo, mais comme il y avait déjà une erreur dans le titre, j’espère que tu me pardonneras

Laisser un commentaire