Autant que l’on vous mette au courant…

La pression ne cesse de s’accentuer pour que la transition écologique passe par des investissements personnels ou collectifs dans les véhicules électriques. Des heures de pub avec des tarifs attractifs reposant sur des aides et des comparaisons de tarifs de plus en plus sensationnelles. La fée électricité doit résoudre dans tous les secteurs de nos vies les problèmes créés par ceux qui maintenant les combattent avec retard dans l’urgence.

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Les vies parallèles des autoroutes

Pour le camionneur qui file plein pot vers le sud pour rentrer chez lui ou pour le vacancier qui rêve de récupérer quelques minutes d’évasion supplémentaire le périple ne souffre pas le moindre retard. Tout le monde tire le maximum des possibilités de son véhicule en tentant de ne pas se mettre hors des limites légales. Les poids de plus en plus lourds roulent en convoi avec des permutations dans l’ordre de conduite afin de profiter de l’aspiration pour économiser des consommations colossales de carburant. Les autres roulent sur le seconde file avec la même tendance à constituer des lignes d’automobiles très proches les unes que les autres.

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La spécificité associative française menacée

Je particpaix hier soir à une nouvelle soirée d'éducation populaire consacrée à la vie associative, ma passion et le fondement de mon action publique. La loi de 1901 relative au « contrat d’association » voulue par Waldeck-Rousseau, présentée par le ministre de la Justice Ernest Monis est adoptée par le Sénat le 22 juin 1901, votée par la Chambre des députés le 28 et promulguée le 1er juillet. C’est pour moi l’illustration parfaite des fondements de la République puisqu’elle offre la liberté d’agir, l’égalité concrète dans la gestion et la fraternité des objectifs.

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Un vrai 14 juillet anticipé du vivre ensemble

La place devant le centre de secours grouille de monde. Des centaines de personnes se retrouvent autour des dizaines de tables dressées sous le ciel clément de la soirée du 13 juillet. On sent les vacances. On respire la rupture. Contrairement aux récentes éditions antérieures la pression a disparu. La crise sanitaire n'est vraiment plus dans les esprits. Elle appartient aux souvenirs dont on évoquera l'impact plus tard lors du retour de mauvais moments.

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Perdre son temps c’est souvent en gagner

Je me suis goinfré de « temps ». J’en ai consommé sans aucun respect pour sa valeur. J’ai toujours pensé qu’il m’était impossible de me rassasier de donner du mien pour économiser celui des autres. J’avais la hantise de la chanson de Brel en pensant que je parviendrai à courir plus vite que la pendule (…) qui « ronronnait au salon et qui disait oui, qui disait non et qui finissait par dire je vous attends. »

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Des sans-papiers mais pas sans valeur exploitable

En une seule journée les atteintes prouvées à l’utilisation des travailleurs immigrés en toute illégalité sont englouties par des informations sans aucun intérêt ou relevant de la désinformation larvée. Dommage que ces faits tellement répandus dans la vie économique réelle ne soient pas l’objet de plateaux alimentaires pour les pourfendeurs des migrants !

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L’aveu implicite de l’arrivée de l’austérité tous azimuts

L’offensive gouvernementale va monter en puissance jusqu’aux vacances. Les rumeurs sur un remaniement rend tous les ministres soucieux de lâcher la bride avec une double pensée : exister et préparer son éviction en savonnant la planche à un successeur. L’opinion dominante va avoir une période de franchise qui avait été dissimulée par la période « reforme des retraites »

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Le temps des douleurs et celui des lendemains qui déchantent

Très connu pour sa fameuse « bonne du curé » ,le chanteur Ricet Barrier avait également formulé la fin de vie de manière humoristique. « Passé soixante ans, quand on se réveille sans avoir mal quelque part, c’est qu’on est mort. » Nous sommes probablement nombreux a donné sa véritable valeur à ce constat impitoyable que je préfère nettement à celui gaulliste qui fait de la vieillesse « un naufrage ».

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