Le jour où se décide une relation humaine plus ou moins durable

La rentrée reste un jour magique. Ce jour là est toujours une aube prometteuse sur l’avenir que l’on espère radieux. Certes parfois les lendemains déchantent, mais il y a toujours quelque part, dans le cœur de la majorité de celles et ceux qui prennent le chemin de ce qui devrait être la plus belle bâtisse du village ou le plus attractif des immeubles de la ville, une petite flamme d’espoir !

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Le bonheur de retrouver le chemin de son école

Nous sommes toutes et tous des anciens élèves avec des souvenirs plus ou moins agréables. Depuis que l’école est devenu obligatoire il n’y a pas d’exception au passage sur ses bancs. C’est vrai que la tradition veut « qu’avant ce fut mieux que maintenant » dans ce domaine comme dans d’autres. En fait rien ne prouve qu’un enfant du XXI° siècle ait l’espoir de meubler sa mémoire de moments plus mauvais que les nôtres.

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La guerre que l’on a longtemps oubliée

Mes souvenirs de ce que l’on a fini par appeler la guerre d’Algérie se nichent dans le village où je vivais. Une quinzaine d’années en bain dans la vie publique, un goût avancé pour la lecture assidu du journal, des oreilles attentives aux discussions des adultes : le conflit ne me laissait pas indifférent. A la Mairie où nous résidions, les débats allaient bon train.

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Encore une fois l’école sert de victime expiatoire de la crise

Depuis la rentrée si la contamination augmente on murmure ou on sous-entend que la cause viendrait des écoles où le virus bien évidemment mal surveillé se prélasserait en toute impunité. Les experts en virologie qui ne doivent avoir qu'un très lointain souvenir de leur passage de leur scolarité enchaînent les recommandations sur le fonctionnement du niveau primaire de l'enseignement.

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