Ici et ailleurs (52) : les villages ne font plus la fête

Les fêtes estivales qui rendaient joyeux les villages les plus modestes s’effacent lentement avec les évolutions sociales. Qui oserait encore passer sa journée au pied d’un clocher ou sur une place communale pour partager un programme à mille lieues des fastes et des délires des villes se prenant pour des « grandes » grâce à leurs moyens financiers.

Continuer la lectureIci et ailleurs (52) : les villages ne font plus la fête

Le message matinal du merle sûr le lui et de ses effets

Il se moque de la nuit. Il est là, installé au faîte d’une maison encore endormie, la tête vers le ciel, vaniteux et arrogant, comme s’il voulait que son message traverse l’espace et le temps. Les spécialistes prétendent qu’il revient, année après année, faire ses déclarations d’amour ou de colère sur les mêmes lieux par fidélité à l’air qu’on lui a prêté durant les plus beaux mois.

Continuer la lectureLe message matinal du merle sûr le lui et de ses effets

Un doute sur la liste du générique

Depuis de nombreuses années j'entends que, pour diminuer les dépenses de la sécurité sociale, l'Etat a mis en place la stratégie des médicaments dits "génériques". Une possibilité d'être soigné pour un coût inférieur et diminuer indirectement les rentes de situation des laboratoires qui rend service aux finances publiques ! Je viens d'en prendre conscience.

Continuer la lectureUn doute sur la liste du générique

Confinavirus (46) : j’en ai plein le dos

Depuis hier j'en ai en effet plein le dos avec en plus du mal à digérer. Les toubibs très peu sollicités en ce moment et n'ayant vu sur Créon qu'un seul cas avéré de Coronavirus pensent qu'il y a une partie de somatisation dans ces maux qui m'empêchent d'avoir un œil aiguisé sur la vie sociale. Il est vrai que 55 jours de résidence surveillée c'est un peu long...Le verdict médical (et non pas sanitaire) est sans illusion : il m'est vivement recommandé de patienter encore quelque temps. Le cardiologue, que je verrai ce jour, aura le dernier mot.

Continuer la lectureConfinavirus (46) : j’en ai plein le dos

Confinavirus (45) : masquer les insuffisances

De ma fenêtre avec vue sur le monde ravi de voir le soleil éclabousser sa joie de reprendre les habitudes d'avant que le coronavirus le mette sous cloche, j'ai pris conscience des difficultés qui seront les miennes pour retrouver une motivation sociale. On devient vite misanthrope dans un contexte comme celui du confinement puisque le danger ne peut venir que des autres. Il faut s'inquiéter de ce phénomène qui risque sérieusement de peser sur les relations humaines déjà fort distendues depuis quelques années. JE est irrépochable... ILS ou ELLES sont suspects !

Continuer la lectureConfinavirus (45) : masquer les insuffisances