Une semaine annonciatrice d’un échec putatif
La semaine qui s'achève aura marqué définitivement le gouvernement ... qui dévoile ses faiblesses potentielles.
La semaine qui s'achève aura marqué définitivement le gouvernement ... qui dévoile ses faiblesses potentielles.
au cours de ces derniers mois la manière la plus répandue de témoigner de son soutien à un coupable ou une victime dont on ne connaît pas la situation réelle réside dans le lancement d’une cagnotte. Un processus odieux exploité par tous les escrocs que compte une société dans laquelle la morale se mesure au montant du compte en banque.
L'ex-Président de la République qui revendique le statut de l'adroite Blandine livrée aux Lions dans la Cour d'appel, a encore une fois profité de son statut pour s'épancher dans la presse. C'est le citoyen français le plus maltraité de l'Histoire puisque toutes les enquêtes effectuées sur ses agissements ou ceux de ses proches sont maquées par des intentions coupables de ceux qui les mènent.
Une nouvelle semaine s’ouvre. Rien d’exceptionnel mais les précédentes ont largement ressemblé à celle des cadeaux de fin d’année. Une pluie de milliards ruisselle sur le pays. Les annonces se succèdent à un rythme accéléré. Président, Première des Ministres, Ministres ordinaires : les crédits à effet plus ou moins différé tentent de boucher les trous de la défiance comme si le fric pouvait tout effacer.
Le Conseil constitutionnel, censurant une loi, votée par le Parlement, incarnation de la souveraineté nationale, s'opposerait donc, en théorie, à la volonté générale. Sauf que celle qui est en cause n’a jamais été votée… et risque de ne jamais l’être. Le mépris mène aux pires excès. On aura le malheur de le vérifier.
Cette propension à transformer en « vedette » tout acteur d’actions répréhensibles explique probablement des comportements banalisés du quotidien. La séquence de plusieurs heures où toute la planète se passionne pour l’apparition devant les caméras de l’auteur de de faits contraires à la loi.
Le 23 juin 1991, Ghislaine Marchal, la riche veuve d’un équipementier automobile, était découverte baignant dans son sang dans la cave de sa propriété de Mougins. Elle a succombé à plus d’une dizaine de violents coups de couteau, l’un d’entre eux traversant le foie, un autre lui sectionnant quasiment un doigt. En arrivant sur place, les enquêteurs ont d’abord découvert que la porte de cette cave avait été fermée de l’intérieur. Et, surtout, que des inscriptions en lettres de sang ornaient deux portes : « Omar m’a tuer » sur la porte de la cave à vin et « Omar m’a t » sur celle de la chaufferie.
Il fut une époque que les moins de soixante-dix ans ne peuvent pas connaître où, chaque mercredi matin, l'attraction du marché se situait au premier étage de la mairie de Créon. Après ou avant aller faire ses courses il fallait faire un petit tour dans la grande salle devenue celle du conseil municipal après rénovation dans les années soixante-dix pour assister aux délibérations du Juge de paix.
En 2018 ce sont plus de 328 000 enfants ou adolescent.e.s qui relèvent de services palliant la défaillance des responsables légaux ou tentant de réparer les dégâts commis par des milieux familiaux en difficulté ou dangereux. Le Département de la Gironde à nettement plus de 3 800 situations à gérer.