La stratégie du « c’est pas moi c’est l’autre! »
Que restera-t-il de la loi immigration quand le cosneil Constitutionnel pris pour un arbitre politique, l'aura examinée ? Le traquenard mis en place a fonctionné.
Que restera-t-il de la loi immigration quand le cosneil Constitutionnel pris pour un arbitre politique, l'aura examinée ? Le traquenard mis en place a fonctionné.
Comment à la fois dresser l’opinion dominante contre des mesures de protection de l’environnement et la précipiter dans les bras du populisme ? Il suffit de prendre à Paris une…
La discussion autour du rejet de la loi immigration mérite un autre décodage que celui qui est servi sur les plateaux télé
Pas question de verser dans un complotisme de bazar mais sur la base des documents secrets qui leur sont fournis, les parlementaires reconnaissent que la Russie (ce n’est pas nouveau), la Chine (en progression) ; la Turquie (qui monte), l’Iran (subtilement) mais aussi quelques-uns des nations potentiellement « alliées » mais pas « amies ») comme « les États-Unis (sans surprise), le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande » agissent sur notre territoire ou nos zones d’influence.
Le référendum a de multiples facettes dans notre démocratie réputée représentative. Il appartient à tous les niveaux de la gouvernance républicaine mais se révèle tellement compliqué à mettre en œuvre que dans les faits il n’existe pas ou très peu.
Nous y sommes dans l’impasse dont il sera difficile de sortir tellement l’ouverture permettant à la majorité minoritaire de respirer est étroite. Comme les manifestations s’engouffrent dans le chemin étroit et poussent de plus en plus fort la mort par étouffement menace celle et ceux qui se retrouvent le dos au mur. La réforme des modalités d’accession aux pensions peut sur des bases totalement formelles, survivre à ce naufrage démocratique mais il en va tout autrement de l’équipage qui était à bord.
Si comme prévu le débat sur la réforme des conditions d'accès aux droits à pension s'achève ce soir sans vote de la part des députés symbolisant une démocratie représentative déjà mal en point, il y a tout à craindre de la suite de la législature.
Les humoristes ne font plus recette et désormais il ne faut pas se permettre le moindre écart sous peine de froisser une part plus ou moins importante de la société. Le premier degré a déjà bien du mal à passer et le second n’a vraiment plus la côte. En plus tout ces « bonbons » d’événements insolites ; toutes ces caricatures sans limites ; tous ces jeux de mots idiots mais tellement sympas ; tous ces récits d’aventures cocasses ont lentement disparu sous la pression d’une bien-pensance parcellisée aux intérêts divergents mais finalement solidaires.
Le retour des mercredis matins heureux s’amorce en ce joli mois de mai prêt à entrer dans le livre des records de température. En attendant le fond de l’air reste frais comme pour rappeler que le climat n’a rien à voir avec la météo.