Raffut (6) : le « cauchenoir » des Namibiens

« They are all backs » avait soit-disant écrit le journaliste british. Ils furent en effet tous des arrières percutants et véloces face à des Namibiens courageux mais trop limités physiquement et techniquement pour offrir autre chose que du placo-plâtre à une escouade de perce-murailles.

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Les loups ont largement profité du silence des agneaux

Dans mon enfance et mon adolescence j'ai eu maintes fois l'impression que les deux guerres mondiales n'avaient pas la même présence dans la mémoire du village. Autant de nombreux habitants portaient haut et fort la mémoire de celle de 14-18, autant la seconde que personne navait souhaitaité voir venir, était passée sous silence.

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Les sombres profondeurs du monde du silence

La nuit enveloppe en quelques minutes la vie comme si elle voulait se mettre au diapason de la période actuelle. Inutile de laisser filtrer une lueur que beaucoup pourrait qualifier d'espoir dans ce monde plongé dans la crainte et le doute. Tout devient sombre depuis quelques semaines et il n'y a aucune raison pour que les cieux ne soient pas secoués par des crise violentes de larmes.

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Paris by night (4) : la fourmilière de l’indifférence

Ici, on s’ignore. On se côtoie sans se voir, pour se concentrer sur les sanglots longs de ce métro martyrisé par les courbures des rails. Ailleurs. On est ailleurs. On se croit ailleurs, mais on conserve un zeste d’angoisse quand à la destination finale… La porte s’ouvre dans un claquement sec. Elle libère les sprinteuses et les sprinteurs de la machine à pointer.

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