Vivement le printemps de l’espoir

Je déprime sous ce ciel gris et chagrin. Les larmes plus ou moins similaires à celles des crocodiles qu’il déverse sur une nature qui ne supporte plus ces lamentations froides et irrégulière noient les espoirs de venue précoce du printemps. Certes il y a eu le maillot jaune des mimosas vite terni par la pluie ou quelques narcisses pressés ou jonquilles pressés d’exhaler leur parfum envahissant ou exhibant leurs élégantes collerettes mais il manque cette ambiance d’espoir de renouveau.

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Confinavirus (34) : la ronde solitaire

Alors peu à peu le besoin d'aller explorer au-delà d'un horizon partiellement obturé par un quatre-quatre immobile donne des fourmis dans les jambes. Équipé d'un masque « fait maison », sur la pointe des souliers qui avaient oublié mes pieds j'ai fui le lieu de confinement. Dérogation dans la poche j'ai opté pour un tour de ville que je n'ai plus effectué depuis exactement 40 jours.

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