Une mémoire sans racines s’éteint très vite

Le culte de la célébration des faits glorieux du temps passé récent ne cesse de grandir. Une grande partie des couches sociales qui constituent l’opinion dominante se réfugie en effet sur le principe d’honorer celles et ceux qui ont combattu ou ont démontré une volonté de défendre les valeurs républicaines essentielles. C’est en effet rassurant de rendre hommage par exemple aux Résistants. Cette période que l’on a présentée comme « glorieuse » de l’Histoire de France permet de masquer les difficultés du présent et plus encore celels qui s'annoncent.

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Ici et ailleurs (59) : la force puisée dans les racines

Amira a conquis sa vraie liberté grâce à l’école et son éducation. Son parcours exemplaire dans le secteur médico-social lui ont permis de vérifier que le soutien aux personnes fragilisées par les aléas de la vie correspondait à sa vocation.

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Le contenu est essentiel, la cruche l’est moins

J’aime la naïveté de cette journée de rassemblement, de partage et d’acceptation des différences. Elle témoigne que l’essentiel repose sur la solidarité dans l’action et la volonté que l’on met à ne surtout pas prendre les autres pour des cruches !

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Ici et ailleurs (41) : le plaisir des bars parallèles

En été, il existe des mots clés du bonheur. Tous sont liés à une passion individuelle ou collective que la saison permet de mettre en exergue, mais tous ne sont pas utilisables au fil des mois. Il en est une que l’on ne peut employer que quand le soleil a rendez-vous avec la lune puisqu’ il s’applique aux deux contextes : « terrasse ».

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« Le nationalisme c’est la guerre (…) ce n’est pas seulement le passé, cela pourrait être notre avenir »

« Il faut vaincre ses préjugés. Ce que je vous demande là est presque impossible, car il faut vaincre notre histoire », avait-il dit ; « et pourtant, si on ne la vainc pas, il faut savoir qu'une règle s'imposera, Mesdames et Messieurs : le nationalisme, c'est la guerre ! La guerre, ce n'est pas seulement le passé, cela peut être notre avenir."

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Ils sont partis trop tôt et ils me manquent déjà

partagé avec moi durant 6 ans la gestion départementale comme Président de la Commission des Finances. J'ai tant aimé travailler avec lui comme avec Jacky Sanudo (57 ans) garçon du peuple espagnol d'une grande culture et d'un talent de journaliste affirmé que j'ai côtoyé à Sud-Ouest. 

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