Raffut (6) : le « cauchenoir » des Namibiens

« They are all backs » avait soit-disant écrit le journaliste british. Ils furent en effet tous des arrières percutants et véloces face à des Namibiens courageux mais trop limités physiquement et techniquement pour offrir autre chose que du placo-plâtre à une escouade de perce-murailles.

Continuer la lectureRaffut (6) : le « cauchenoir » des Namibiens

Pas de lien social solide sans tradition solide

Nous avons plongé dans la société de l’éphémère, de l’instantanéité, de l’immédiat. Illico toute personne qui d’une manière ou d’une autre fait référence au passé est catalogué de réactionnaire et mis à l’écart. Les supports médiatiques, la nouvelle donne des réseaux sociaux, la hiérarchisation de l’actualité, la suppression de l’enseignement de l’Histoire, le déracinement sociale conduisent à gommer toute référence à l’antériorité des faits.

Continuer la lecturePas de lien social solide sans tradition solide

Le savoir-rire est en voie de disparition

Plus que le savoir-vivre je voudrais retrouver le "savoir-rire" porté par l’amitié et l’échange. J'en ai assez que le sérieux me prenne. Il me tarde que ce "savoir-rire" qu’il revienne car je pourrais débuter la thérapie dont j’ai grand besoin.

Continuer la lectureLe savoir-rire est en voie de disparition

Le dévot qui n’en faisait qu’à sa tête

Depuis des mois, il existait une volonté manifeste au sein de la bande des Parieurs Minables Unifiés de noyer le chagrin que lui procure systématiquement l'arrivée du quinté dans un repas tête de veau sauce gribiche. Les rencontres privées chez Albert ont placé la barre très haut pour ce plat emblématique dont Chirac se régalait.

Continuer la lectureLe dévot qui n’en faisait qu’à sa tête